Dédié au mieux-être individuel et collectif, Akelarre est un concept hybride
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Un espace studio avec une variété de cours et ateliers d'expression corporelle, ainsi qu'un espace privatisable
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Un double espace café & salon permet de s'adapter à chaque envie et mood du moment.
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Du local, du frais et du bio ! La majorité de nos fournisseurs proviennent des alentours de Bayonne, permettant d'offrir des produits de saison et surtout du fait maison. Ici, pas de produits transformés, ou si c'est le cas, il s'agit de fabrique artisanale. Nos fruits et légumes sont issus de fermes à Bayonne et Tarnos, notre bière est brassée et notre café torréfié localement.
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Des ateliers et évènements ! Vous avez une passion que vous souhaitez partager ? Venez organiser un atelier, partager vos compétences, et contribuer à faire de Akelarre un lieu de partage vivant, autour de la créativité, de l'expression et du partage.
Un peu d'histoire ...

Remontons le temps jusqu'au XVIIe siècle, quand le terme "Akelarre" était associé à des rassemblements mystiques.
Dans l'histoire des femmes des temps modernes, particulièrement au cours de la période de l'inquisition qui a eu lieu principalement en Europe, "Akelarre" a été utilisé pour décrire les prétendus rassemblements de sorcières. Plus encore au Pays basque que dans beaucoup de régions d'Europe en raison de la protection conférée par la langue, guérisseurs et sages-femmes ont joué un rôle important et forcément suspect aux yeux de l'Église et des autorités, préservant les coutumes populaires et des croyances païennes contraires à l'idéologie catholique. Les prétendus sabbats et akelarreak n'étaient peut-être que des réunions festives, organisées à l'écart des autorités civiles et religieuses.
"Fantasmée, la sorcière est souvent réduite à un archétype voire une caricature qui ne reflète pas une situation complexe, évolutive et diverse. Dans ce melting pot, chacune puise un peu partout, prend ce qu’elle veut, sans trop se documenter et diffuse des idées reçues issues de croyances syncrétiquement assemblées" souligne Marise Symon.
Au-delà des clichés, les Akelarre étaient des rassemblements sociaux empreints de solidarité et de traditions. Les personnes oppressées, majoritairement des femmes, s’y retrouvaient pour chanter, danser et s'exprimer. Aujourd'hui, notre café souhaite rendre hommage à cet esprit communautaire en étant un lieu de rencontre pour toutes et tous, où l'on prends soin de soi et des autres.
Entre autre, le réalisateur argentin Pablo Agüero dépeint dans son film de manière fictive : à la fois révoltante et captivante qui fait écho à nombre d'histoires actuelles à travers le monde et célébre les vertus de la sororité.